Priver les citoyens d’un « superaliment » est dommage. Mais il est beaucoup plus grave de leur conseiller d’avaler un aliment toxique.
C’est ce qui s’est produit dans les années 1970 (encore !), lorsque l’on a commencé à dire aux gens de remplacer les graisses animales, comme le beurre, par des huiles végétales, comme l’huile de tournesol ou de maïs.